La maitrise de la langue française conditionne toujours l’accès à l’emploi.

Les recruteurs ont toujours été attentifs au niveau de français des candidatures (CV et lettres) et lors des entretiens à l’oral, des francophones. Mais cet aspect prend une importance croissante en raison de la baisse progressive du niveau acquis en sortie de formation initiale. Ce phénomène ne touche pas que les jeunes décrocheurs, scolaires ou universitaires, mais aussi des jeunes, sortant diplômés à bac+5. 76% des employeurs en France se déclarent confrontés quotidiennement aux lacunes en orthographe et en expression de leurs équipes en français. Les fautes trop fréquentes peuvent nuire : en externe (crédibilité et image de l’entreprise, qualité de la relation clients) et en interne (gestion, productivité et efficacité) en particulier, c’est le cas en télétravail et au cours des procédures en ligne.