En 2014, l’augmentation des effectifs des fonctions publiques s’est poursuivie.
La réduction des effectifs des fonctions publiques reste pourtant un élément central pour atteindre l’objectif de réduction des dépenses publiques.
La réduction des effectifs des fonctions publiques reste pourtant un élément central pour atteindre l’objectif de réduction des dépenses publiques.
Les évolutions de la production et de la consommation d’énergie imposent des compétences nouvelles et une approche plus interdisciplinaire, sans être à l’origine d’un nombre important de créations de nouveaux emplois cadre.
Compte tenu des résultats obtenus auprès de jeunes en décrochage scolaire, une consolidation et un développement du réseau des Écoles de la deuxième chance s’imposent.
Cette expérimentation peut bénéficier à des profils sans qualification, mais elle ne peut prétendre éliminer l’ensemble du chômage de longue durée sur un territoire.
La population active croit, le nombre d’emploi stagne, le chômage augmente.
La mesure fiscale adoptée pourra bénéficier aux particuliers employeurs qui sont actuellement près de 2 millions et encourager la création d’emplois.
Selon la méthode du Bureau International du Travail (bit), la France métropolitaine compte 2 935 000 chômeurs, chiffre auquel il convient d’ajouter les effectifs du halo du chômage qui s’élèvent à 1 400 000 personnes.
Le projet d’augmentation des effectifs diplômés, à hauteur de 60% d’une classe d’âge, proposé par le rapport, ne répond à aucun besoin étayé en matière d’emplois.
Les statistiques de France travail décrivent bien la dualité des parcours.
La mobilité d’une part importante des demandeurs d’emploi (retour à l’emploi de 61,1% dans les 12 mois).
L’installation dans le système dans la durée, d’une part des inscrits (25,2% dans les 24 mois).
Ces chiffres sont à prendre avec précautions, car ils dépendent évidemment des circonstances sur le marché du travail : crise sanitaire de 2020, reprise dynamique 2021/2022, puis chute de la croissance (2023).
Selon l’accès à l’emploi des demandeurs d’emploi inscrits à Pôle emploi (désormais France Travail) mesuré en septembre 2023, en moyenne, au cours des 6 mois suivant leur inscription en mars 2023, 44,9% des demandeurs d’emploi accèdent à un emploi d’un mois ou plus .
En 12 mois, 61,1%, en 18 mois, 65,6% et en 24 mois, 74,8%.
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FIN DES ASS POUR LES CHÔMEURS
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