Les RH s’attaquent à l’application des récentes mesures adoptées en droit du travail.
Les nouvelles obligations, relevant d’impératifs divers de droit du travail, n’encourageront ni les recrutements ni l’emploi.
Les nouvelles obligations, relevant d’impératifs divers de droit du travail, n’encourageront ni les recrutements ni l’emploi.
L’avenir des financements des Missions Locales reste incertain. L’animation du réseau des missions locales fait l’objet d’un débat. Le rapport avec Pole Emploi n’est pas stable.
La tendance reste à une augmentation du chômage. Compte tenu des politiques mises en œuvre (formation, etc.), le résultat devrait déboucher au mieux sur une stabilisation du chômage.
Les solutions évoquées concernent, d’une part, une hausse des cotisations et, d’autre part, une diminution des allocations à des niveaux divers (dégressivité, réduction de la durée d’indemnisation, délai d’accès aux droits…).
La faible croissance du nombre des personnes en emploi permet juste d’assurer une certaine stabilisation du nombre de demandeurs d’emploi.
Une « conférence sociale » a été annoncée pour octobre 2023.
Cet événement devrait concerner les seuls salariés en poste et non les actifs sans emploi ou les indépendants.
Les thèmes à l’ordre du jour de cette conférence tourneraient autour des bas salaires, une intervention sur les minimas de certaines branches professionnelles et une modification des dispositifs existant (dont les exonérations de cotisations patronales).
Le sujet est complexe. Il est lié à l’ensemble des bas salaires au-delà du SMIC.
Le ministère ne compte pas aborder les revendications de certaines organisations syndicales, telle l’indexation des salaires sur l’inflation ou, plus précisément, l’indexation du SMIC.
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Combien d’emplois vacants ?
Quelles sont les mesures annoncées pour réformer l’indemnisation chômage ?
Qui s’intéresse vraiment à la question de l’emploi ?
FIN DES ASS POUR LES CHÔMEURS
Qui s’intéresse vraiment à la question de l’emploi ?