La cybersécurité devient une priorité pour les acteurs de l’emploi et de la formation.

Le monde du travail a progressivement multiplié la collecte à des données concernant les offres d’emploi, les chercheurs d’emploi, les employeurs, les entreprises qui recrutent, les divers acteurs de l’emploi…

Ces données diffèrent, en simplifiant, on peut retenir une part sont librement accessibles à tous, via des plateformes, une part des données est protégée partiellement. Par exemple, l’accès au profil des candidats peut être réservées aux recruteurs, enfin, d’autres données sont théoriquement privées et protégées.

Il peut s’agir par exemple, de données concernant : la gestion des salariés et leur rémunération : de leur profil personnel à leur RIB ; La politique et la stratégie des recruteurs, en particulier dans un contexte concurrentiel ou d’une confidentialité nécessaire pour des actions nouvelles ; L’accès à des politiques publiques d’aide à l’emploi ou à la formation, comme cela a été le cas des fraudes et escroqueries au CPF, avec l’usurpation d’identité de salariés, la création d’organismes de formation fantômes, etc.