Durée du travail : un projet de réforme en trompe-l’œil.
Sur la durée du travail, le projet de loi ne contient pas de réelles…
Sur la durée du travail, le projet de loi ne contient pas de réelles…
La modernité du droit du travail est de mettre à la disposition des entreprises des outils adaptés qui favorisent leur développement économique tout en préservant les conditions de travail et de rémunération des salariés. Le Code du travail doit conserver ces objectifs.
L’augmentation du nombre de travailleurs indépendants apparaît à de nombreux politiques comme l’une des voies pour parvenir à une diminution du chômage de masse.
L’économie collaborative repose sur de nouvelles formes d’organisation du travail. Difficile de dire si le développement des plateformes conduira à des créations d’emplois.
L’avenir de l’emploi est progressivement devenu un sujet de recherche et de préoccupation. Les emplois devraient évoluer ou changer de diverses façons. Des emplois encore inconnus seront à créer. Les conditions d’une démarche volontariste doivent être réunies.
Le nombre de logements neufs a stagné en 2005. Les perspectives 2016 n’annoncent pas un décollage. Le nombre des emplois ne peut pas s’améliorer rapidement.
Un Code de l’emploi et de la formation professionnelle répondrait davantage à l’évolution des besoins actuels. Une réforme de la définition du droit du travail apparaît nécessaire.
La réduction des effectifs des fonctions publiques reste pourtant un élément central pour atteindre l’objectif de réduction des dépenses publiques.
La mesure fiscale adoptée pourra bénéficier aux particuliers employeurs qui sont actuellement près de 2 millions et encourager la création d’emplois.
La commission européenne prévoit une lente amélioration de la croissance principalement, liée au faible prix du pétrole, à la baisse du cours de l’euro et la politique monétaire de la BCE, mais le taux de chômage en France ne devrait pas diminuer en 2016.
À fin octobre 2024, 64 650 défaillances d’entreprises ont été comptabilisées, sur douze mois, atteint, selon la Banque de France. Le nombre de défaillances aura augmenté de 21%, sur les douze derniers mois.
« Cette hausse est en partie un rattrapage, après le fort ralentissement des défaillances pendant la période covid (2020-2021). » selon la Banque de France.
Le chiffre atteint sur l’année demeure peu supérieur (+8,9%) à ceux constaté avant la crise sanitaire (59 342 entre 2010 et 2019).
Le nombre d’emplois, directement concernés par les procédures engagées, peut être estimé dans une fourchette allant de 150 à 250 000 postes, sans compter les emplois indirects.
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