Pourquoi ne pas prendre en compte le « désir d’emploi » des chômeurs
Pour augmenter rapidement de 2 millions le nombre des actifs, il faudrait inverser la cible de la politique publique en matière d’accompagnement des chômeurs en choisissant de cibler : les chômeurs proches de l’emploi et ceux qui sont « prêts à tout » pour travailler, tout en mobilisant la formation en leur faveur. Il semble nécessaire d’accepter de manière réaliste le faible « désir d’emploi » temporaire de certains chômeurs, sans les sanctionner.
ABANDON DES CONTRATS DE PROFESSIONNALISATION
Combien d’emplois vacants ?
Quelles sont les mesures annoncées pour réformer l’indemnisation chômage ?
Qui s’intéresse vraiment à la question de l’emploi ?
FIN DES ASS POUR LES CHÔMEURS