Le contrat de génération reste un échec.
Une aide de 333 € par mois n’apparait pas suffisante pour encourager un employeur à embaucher un jeune en CDI à temps plein.
Une aide de 333 € par mois n’apparait pas suffisante pour encourager un employeur à embaucher un jeune en CDI à temps plein.
Les missions locales sont des associations qui se trouvent, une fois de plus, avec des perspectives incertaines, entraînant des difficultés tant au niveau de la gestion des personnels que de la prise en charge des jeunes.
À la fin février 2015, le nombre de demandeurs d’emploi inscrits à Pôle emploi, en catégorie A, B et C s’établit à 5 561 000 en France entière, Une augmentation de 326 700, soit +6,2% en un an.
Le classement au brevet est significatif, si on le compare à la proportion de réussite dans les études ultérieures : jeunes sans diplôme (15%), bacheliers (77,5%) et diplômés du supérieur.
Les contraintes liées à la réduction des dépenses publiques ne doivent pas mettre en cause l’existence, la compétence et l’expérience acquise des acteurs de l’emploi en matière d’accompagnement des chômeurs, même si des changements profonds sont à mener.
Une affaire exceptionnelle de travail dissimulé concernant près de 500 étrangers sur le chantier du réacteur nucléaire EPR de Flamanville, entre 2008 et 2012, confirme l’importance du recours aux travailleurs détachés non déclarés dans le secteur de la construction.
L’objectif des emplois aidés ne peut se limiter au seul critère de placement. Les contrats aidés constituent une étape dans un parcours professionnel en apportant à leurs bénéficiaires : salaire, expérience, référence CV, recrutement éventuel… Il faut les juger sur ces critères.
Le taux de chômage, France entière, était de 8,9% en 2004, il a bondi de 2008 à 2009 en passant de 7,7% à 9,5% et, depuis 2012, il a dépassé le seuil des 10% pour arriver à 10,4% en 2014.
La prime d’activité encouragera principalement une reprise à temps plein et non une reprise progressive avec de petits temps partiel. Dans une période où la pénurie d’offres d’emploi à temps plein est reconnue, ce choix politique est discutable.
La question de l’orientation ne se limite pas au nombre et à la coordination des acteurs. Elle se situe au niveau de la qualité des informations, de leur mode de diffusion et de la formation initiale et permanente des différents personnels.
Les chiffres de 2024 du nombre d’inscrit à France travail marquent la fin de la période précédant le lancement des procédures d’inscription automatique, des jeunes bénéficiaires d’une prestation (Pacea et CEJ) et des nouveaux allocataires du RSA.
En France entière, le nombre de demandeurs d’emploi, inscrits à France travail, s’élève à 6 255 100 au 4ème trimestre 2024.
Sur l’année 2024, il a globalement augmenté de +1,5%.
Mais surtout, en catégorie A, le nombre des inscrits (sans emploi et tenus de rechercher un emploi) a augmenté de 106 200 (soit +3,5%).
Plus généralement, le nombre des inscrits tenus de rechercher un emploi (A, B ou C) aura augmenté de 97 200 sur un an (soit +1,8%).
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ABANDON DES CONTRATS DE PROFESSIONNALISATION
Combien d’emplois vacants ?
Quelles sont les mesures annoncées pour réformer l’indemnisation chômage ?
Qui s’intéresse vraiment à la question de l’emploi ?
FIN DES ASS POUR LES CHÔMEURS