PAS DE GÉNÉRATION SACRIFIÉE

La vie de beaucoup de jeunes a été touchée par les conséquences des mesures, prises par le gouvernement, pour tenter de répondre à la crise sanitaire.

Cela s’est traduit par l’interruption d’une formation, par au travers de l’annulation d’un stage ou par la perte d’un emploi (licenciement ou non renouvellement d’un contrat).

C’est ce qui explique que la priorité des jeunes reste de trouver un emploi.

Le discours médiatique et politique accroit encore l’angoisse d’une part des jeunes. Mais la notion de « génération sacrifiée » ne correspond pas à la réalité.

Compte tenu de la diversité des situations des jeunes, selon leur âge et l’avancement de leur parcours de formation ou de son abandon, la population à prendre en compte est fortement hétérogène.

Il existe bien des problèmes réels et sérieux, mais ils concernent seulement une part des jeunes (25 à 30%) pour des motifs divers.

Cette diversité de situation explique pourquoi 62% des jeunes restent a priori assez optimistes.