Les partenaires sociaux souhaitent pouvoir influer sur les réformes concernant l’emploi du nouveau gouvernement.

Sur tous les sujets concernant l’emploi, le travail et la formation, avant le début du quinquennat 2022-2027, les partenaires sociaux tentent de démontrer leur capacité à travailler de façon autonome, afin de consolider un dialogue social, productif et équilibré, avec l’État. Les principales organisations patronales et syndicales sont parvenues à un projet d’Accord national interprofessionnel (ANI) sur la « modernisation du paritarisme ». Il concerne, entre autres, la place des partenaires sociaux dans gouvernance d’institutions telles que l’Unédic et l’Apec.