Durée du travail : un projet de réforme en trompe-l’œil.
Sur la durée du travail, le projet de loi ne contient pas de réelles innovations, en tout…
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La modernité du droit du travail est de mettre à la disposition des entreprises des outils adaptés qui favorisent leur développement économique tout en préservant les conditions de travail et de rémunération des salariés. Le Code du travail doit conserver ces objectifs.
L’augmentation du nombre de travailleurs indépendants apparaît à de nombreux politiques comme l’une des voies pour parvenir à une diminution du chômage de masse.
L’économie collaborative repose sur de nouvelles formes d’organisation du travail. Difficile de dire si le développement des plateformes conduira à des créations d’emplois.
L’avenir de l’emploi est progressivement devenu un sujet de recherche et de préoccupation. Les emplois devraient évoluer ou changer de diverses façons. Des emplois encore inconnus seront à créer. Les conditions d’une démarche volontariste doivent être réunies.
Le nombre de logements neufs a stagné en 2005. Les perspectives 2016 n’annoncent pas un décollage. Le nombre des emplois ne peut pas s’améliorer rapidement.
Un Code de l’emploi et de la formation professionnelle répondrait davantage à l’évolution des besoins actuels. Une réforme de la définition du droit du travail apparaît nécessaire.
La réduction des effectifs des fonctions publiques reste pourtant un élément central pour atteindre l’objectif de réduction des dépenses publiques.
La mesure fiscale adoptée pourra bénéficier aux particuliers employeurs qui sont actuellement près de 2 millions et encourager la création d’emplois.
La commission européenne prévoit une lente amélioration de la croissance principalement, liée au faible prix du pétrole, à la baisse du cours de l’euro et la politique monétaire de la BCE, mais le taux de chômage en France ne devrait pas diminuer en 2016.
Les ruptures conventionnelles individuelles contribuent utilement à la mobilité du marché du travail. Leur nombre progresse. Pour l’année 2018, 438 000 ruptures conventionnelles ont été homologuées.
Les conditions financières (indemnité, puis indemnisation chômage) encouragent les salariés à choisir cette voie pour quitter leur entreprise de préférence à une simple démission, avant de changer poste.
Pour les « ruptures conventionnelles collectives » rendues possibles courant 2018, un premier bilan pratique est attendu.
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